![la demoiselle de la poste Julia Chapman la demoiselle de la poste Julia Chapman](/images/lecture/la-demoiselle-de-la-poste.jpg)
Cette fois, le roman m’a rappelé un peu plus les « détectives du Yorkshire ».
Une histoire plus ardue que les 2 tomes précédents, des complots, un « meurtre », des émeutes, des frayeurs et de la tristesse. Et bien sûr, de la tendresse, de l’émotion et de la joie. Ici, on retrouve nos compagnons, pour la plupart, plus unis que jamais. On découvre une merveilleuse histoire d’amour (ou plusieurs, dirais-je, l’amour de parents, d’amis et d’amants).
Aussi, je l’ai lu bien plus vite qu’il ne fallait, en me retenant de lire le dernier chapitre, pour conserver le suspens. Mais que c’était difficile. J’aurais pourtant dû prendre mon temps, en me disant que c’était du « Julia Chapman », bien ficelé et cohérent.
J’attends alors la suite, car il y a toujours cette petite énigme non résolue, et me remets de mes émotions. (J’aime trop les animaux).
Je lui donne un 9/10. Il aurait mérité plus, car la structure du roman est exceptionnelle, mais il m’a perturbée.
4ème de couverture :
Branle-bas de combat dans un village ariégeois !
Depuis l'incendie qui a détruit son bureau, Véronique, la demoiselle de la poste, est au chômage technique. Et, jusqu'à présent, ses réclamations pour l'ouverture d'un nouveau local demeurent sans réponse. Qu'à cela ne tienne, Véronique ne baissera pas les bras. Son emploi et la commune de Fogas sont en jeu !
Mais le village est accaparé par un problème de taille : la réintroduction des ours dans la région. Difficile de se faire entendre pour la préposée des postes... Et si les habitants de Fogas se trompaient de combat ?