Un joli roman d’amitié improbable, au sens d’une auberge où se côtoient des personnes de tous âges.
Des personnes aigries, des personnes malheureuses, des personnes remplies d’espoir.
On apprécie bien sûr Paulette, malgré son mauvais caractère, qui n’est peut-être qu’une façade. Puis on apprend à connaitre ce petit monde, et on devient ainsi « le chat » Léon, qui voit et observe tous mouvements et évolution de ces vies.
Petite larme à la fin, autant de tristesse que finalement d’allégresse. Toutefois, à ne pas lire quand on est dans une petite phase de déprime, même si les amitiés sont belles, l’histoire est un peu triste. Mais c’est la vie.
A noter : des choses sympathiques à faire pour soi-même, après avoir fermé ce livre. Mais je n'en dirais pas plus.
Je lui donne un 7,5/10
Hâtes toutefois de livre le nouveau livre de l’auteure, « Même les méchants rêvent d’amour ».
4ème de couverture :
Paulette a 85 ans, un caractère bien trempé, et pas toute sa tête. Enfin, à ce qu’elle prétend. Lorsqu’elle se retrouve bien malgré elle la nouvelle pensionnaire de l’Auberge de Monsieur Yvon, elle n’a qu’une obsession : en partir ! Mais c’est sans compter sur l’étrange fascination que les autres habitants et leurs secrets vont bientôt exercer sur elle.
Que contiennent ces lettres mystérieuses trouvées dans la chambre de Monsieur Georges ? Qui est l’auteur de ce carnet abandonné dans la bibliothèque ? Une chose est certaine : Paulette est loin d’imaginer que ces rencontres vont changer sa vie et peut-être, enfin, lui donner un sens.
Des morceaux de vie qui enchantent, des chagrins, des joies, des confidences. Un roman tendre et lumineux qui nous parle d’amour et d’amitié à l’heure où on ne s’y attend plus. Un roman qui fait aimer la vie.
« Un livre qui nous émerveille autant qu’il nous captive, avec humour et délicatesse, nous donnant à voir la fragilité des êtres humains tout autant que leur soif de bonheur. Un pied-de-nez à la morosité qui vous parle au cœur. »